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La forêt d'Orléans sous surveillance

La plus grande forêt domaniale de France est soumise à une surveillance totale de son développement au regard du changement climatique. Le nom de ce dispositif expérimental développé par l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture: OPTmix.
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Une parcelle "mixte" de la forêt d’Orléans, peuplée de pins et de chênes. [Irstea]

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Un dendromètre qui permet de mesurer l’accroissement d’un tronc d’arbre en épaisseur. Chaque semaine, au printemps et en été, le "tour de taille" de ce chêne augmente d’un dixième de millimètre. Celui-ci a environ 80 ans. [RTS - Silvio Dolzan]

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Nathalie Korboulewsky, responsable du projet Optmix, montrant les blessures infligées à la tige d’un jeune pin par les bois d’un chevreuil (qui adore de les frotter sur les jeunes arbres). La blessure va se cicatriser… peut-être. [RTS - Silvio Dolzan]

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L’installation de la sonde qui permet de mesurer la hauteur de la nappe perchée. On voit bien la présence, à 30 cm sous la surface, de cette couche d’argile qui fait "baignoire" en hiver et devient dure comme du béton en été. Les racines des arbres ne peuvent que très difficilement la traverser. [Irstea]

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Une parcelle "mixte" de la forêt d’Orléans, peuplée de pins et de chênes. [Irstea]

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L’installation d’une des stations météo automatiques du projet Optmix. [Irstea]

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Les sachets dans lesquels Nathalie Korboulesky a enfermé il y a deux ans des feuilles de pin et de chêne (ou d’une seule essence) pour suivre leur état de décomposition. [Irstea - Grégoire Maisonneuve]