Gustave Loup en robe de mandarin, Tianjin, janvier 1925. Résidant en Chine, à Tianjin et Pékin principalement, M. Loup tenait à Genève, par l'intermédiaire d'une assistante, un commerce d'antiquités chinoises, La Chine antique. (in "L'Aventure chinoise - Une famille suisse à la conquête du céleste empire", par Estelle Niklès van Osselt et-Christiane Perregaux-Loup, Fondation Baur, Musée des arts d’Extrême-Orient à Genève)

Histoire des voies commerciales entre la Chine et l'Occident (3/5)

L'horlogerie participe de la rencontre entre la Chine et l'Occident. Quelques Suisses comme Eugène Borel et Pierre-Frédéric Loup profiteront de l'engouement des Chinois pour les horloges et les montres. Mais ils se retrouveront aussi au cœur d'événements qui marqueront le XIXe et le début du XXe siècles.

Troisième partie de cette série, toujours en compagnie d'Estelle Niklès van Osselt, historienne de l’art extrême-oriental et spécialiste de la Chine.


Photo: Gustave Loup en robe de mandarin, Tianjin, janvier 1925. Résidant en Chine, à Tianjin et Pékin principalement, M. Loup tenait à Genève, par l'intermédiaire d'une assistante, un commerce d'antiquités chinoises, La Chine antique. (in "L'Aventure chinoise - Une famille suisse à la conquête du céleste empire", par Estelle Niklès van Osselt et Christiane Perregaux-Loup, Fondation Baur, Musée des arts d’Extrême-Orient à Genève/ © Musée d’horlogerie du Locle, château des Monts, Le Locle, Suisse)
Histoire des voies commerciales entre la Chine et l'Occident (3/5)