Tchétchénie ; Moudon
Le long métrage: Entre Tchétchénie et Géorgie, paroles de femmes pour défendre la vallée de Pankissi
Le court métrage : "Moudon, que ce soit pour pleurer ou pour sʹmontrer, on y retourne toujours"
Le court métrage : "Moudon, que ce soit pour pleurer ou pour sʹmontrer, on y retourne toujours"
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreLe long métrage: Entre Tchétchénie et Géorgie, paroles de femmes pour défendre la vallée de Pankissi
Le court métrage : "Moudon, que ce soit pour pleurer ou pour sʹmontrer, on y retourne toujours" - Le court métrage : " Moudon, que ce soit pour pleurer ou pour sʹmontrer, on y retourne toujours "« Honnêtement ? Il faudrait me payer bien cher pour aller y vivre ... Je trouve cette ville moche et mal habitée » ; « Idem, franchement, ville pas très gaie, c'est plat » ; « Pareil que les autres, pas du tout envie d'y vivre. C'est très mal fréquenté et vraiment vieux comme ville dans le mauvais sens du terme. Et en ce qui concerne la météo, c'est le cœur de la Broye donc c'est brouillard tous les matins de septembre à mars ! ». Ce sont quelques-uns des messages que l’on peut trouver sur les réseaux sociaux concernant l’ancienne capitale du Pays de Vaud, Moudon. Mais est-ce si sûr ?
Reportage : Christophe Canut
Réalisation : David Golan - Le long métrage: Entre Tchétchénie et Géorgie, paroles de femmes pour défendre la vallée de PankissiDe la Tchétchénie, la région de leurs ancêtres, elles ont gardé la langue, les recettes de cuisine et la religion, l’islam sunnite. Trois femmes partagent leur histoire, celle de la communauté kistine, installée en Géorgie depuis le XIXème siècle, dans la vallée de Pankissi, à cinquante kilomètres à vol d’oiseau de la frontière russe. Après la chute de l’URSS, Elza a connu les guerres de Tchétchénie où elle avait émigré dans les années 1980. Elle a dû tout reconstruire dans une vallée frappée par le chômage, la pauvreté et une émigration massive. Avec son mari apiculteur, elle a monté une maison d’hôtes à Dumasturi. Eka donne des cours d’anglais aux enfants pour qu’ils puissent étudier à l’université. Raissa mène le zikr, un cercle de femmes de danses et de chants soufi, une tradition unique dans le Caucase du Sud. Toutes espèrent que le tourisme va donner un nouveau souffle à leur vallée.
Reportage : Louise Cognard
Réalisation : Rodolphe Bauchau
Ce reportage a été réalisé dans le cadre du projet #EUmeetsEurope, un projet conjoint de la Fondation Genshagen et de la Fondation ERSTE:
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