Pascal Greco, "Place(s)", les paysages qui nʹexistent pas

Le photographe et réalisateur genevois Pascal Greco a testé durant le confinement un nouveau mode d’expression, en a fait un livre et une expo présentée aux Journées photographiques de Bienne.
La série Place(s), présentée de manière installative aux Journées photographiques de Bienne, explore la pratique de l“in-game photography”, une pratique qui s’inscrit dans le cadre de la “post-photographie”. Ses images d’un réalisme troublant se concentrent sur des paysages “naturels” et “existants”. Elles interrogent notre perception et construction de la réalité à l’ère du digital. Des nouvelles images ont été produites pour le festival, l’artiste étant retourné en “Islande” avec un appareil photographique plus puissant, la Playstation 5. Il a ensuite utilisé un programme d’intelligence artificielle pour réaliser des impressions grand format.
“Place(s)”, dernier livre de Pascal Greco, paru aux éditions Infolio.
Dont une expo présentée aux Journées photographiques de Bienne, du 5 au 28 mai 2023.
Pascal Greco est l’invité de Pierre Philippe Cadert.

La schubertiade revient en Valais.
Ariane Moret seule à la tête du Théâtre du Jorat.
Des stars annoncées au Grand Théâtre de Genève.

Que faut-il en attendre?
Par Rafael Wolf.

Depuis le début de l’agression armée de l’Etat russe contre l’Ukraine, Alexander Chekmenev photographie et récolte les témoignages des habitants de son pays. Quatorze portraits lumineux et poignants de son projet «Faces of war» sont actuellement exposés à la HEP Vaud à Lausanne. Sarah Clément a tendu son micro à la médiatrice culturelle Alexandra Kaourova, lors d’une visite de gymnasiens de la région.
«Faces of war», une exposition photographique d’Alexander Chekmenev, à voir jusqu’au 30 juin 2023 à la HEP Vaud à Lausanne.

Un des événements de break les plus important de l’année se tient à Zurich ce weekend, la finale Suisse du Redbull BC1. L’occasion de découvrir certains des danseuses et danseurs qui représenteront peut-être la Suisse aux JO de Paris en 2024, car le break y fera ses débuts parmi les disciplines olympiques.
Une chronique de Michel Ndeze.