Anoush Abrar, "White Mask"

Le travail du photographe iranien Anoush Abrar pourrait être décrit comme provocateur, amusant, créatif ou unique. Toujours inspiré par son sens de la rareté et son appétit de renouveau.
Bien qu'en apparence son travail s'oriente dans la tradition de la photographie de mode, en exagérant ou en minimisant délibérément ses images, il crée sa propre signature très glamour. Son imagerie très séduisante et son flair pour les histoires provocatrices apportent un vent nouveau constant à sa photographie.
"White Mask" est un projet sur les geishas. Il faut savoir qu'il est impossible d'approcher une geisha sans l'aide d'un Japonais et qu'il est encore plus difficile de les photographier sans une confiance bien établie.
"Whiste Mask" à la galerie l'Atelierphoto à Nyon du 21 septembre au 31 octobre.
Anoush Abrar est l’invité de Pierre Philippe Cadert.

La fiction dépasse, vraiment, la réalité.
Angus Cloud dans les nuages.
Un roman suisse aux Oscars.

«Yannick» de Quentin Dupieux et « Anatomie d’une chute » de Justine Triet rencontrent les faveurs du public français. Aux Etats-Unis, «Barbie» et « ppenheimer» ont volé la vedette à des suites aux résultats décevants, comme “Indiana Jones 5», «Mission: Impossible 7», ou «Fast and Furious 10». Et une superproduction bollywoodienne, intitulée «Jawan», s’est même placée 6e au box-office américain. Les spectateurs en ont-ils marre des super-héros et des suites à répétition? Un décryptage de Rafael Wolf.

Alors que se commémore le traité de Lausanne de 1923, qui enterra les espoirs nationaux des Kurdes, le théâtre de Vidy accueille les 22 et 23 septembre un projet tourné vers l’avenir: mené par Jonas Staal et Nilufer Koç, New World Embassy Kurdistan, est un lieu de partage et de discussions où l’art sert la politique en créant une ambassade hors frontières et états-nations. Explications au micro de Thierry Sartoretti.