Le sommaire de l’émission
- Émission entière*
- Un trépidant Steve Reich à l'honneur du BFMPour clore les 5 jours du festival « Percussion III » qui se déroulait pour sa 3e édition du 30 novembre 2011 au 4 décembre 2011 à Genève, Eklekto, le Geneva Percussion Center, proposait le dimanche 4 décembre 2011, un concert en hommage à Steve Reich, aux côtés de l'Ensemble percussions de l'OSR. Pour ce concert, six oeuvres du compositeur nord-américain ont secoué la salle Turrettini du BFM. Des oeuvres qui explorent autant les rythmes que la richesse des timbres (bongos, marimbas, vibraphones, xylophones, et même battements à mains nues, avec sa "Clapping Music"). Isabelle Carceles y était et en fait la critique.
- "The Lady" de Luc Besson, avec Michelle YeohAlors que son pays est victime des horreurs de la junte militaire, Aung San Suu Kyi sacrifie sa liberté et sa vie privée pour tenter d'instaurer la démocratie en Birmanie. Assignée à résidence, elle continue le combat en dépit de l'isolement, qui l'éloigne de son mari et de ses deux enfants, résidents en Angleterre.Luc Besson met sa caméra au service de ce destin hors normes et rend hommage au prix Nobel de la Paix 1991. La critique de Rafael Wolf.
- "Monsieur Bonhomme" au Théâtre des OssesNé il y a un siècle, mort voici vingt ans, Max Frisch n'a cependant rien perdu de son mordant. La preuve avec une excellente mise en scène de son classique "Monsieur Bonhomme et les incendiaires" par le Théâtre des Osses dans une mise en scène de Gisèle Sallin. Thierry Sartoretti est revenu tout feu tout flamme de cette pièce à l'affiche jusqu'au 31 décembre 2011 à Givisiez, près de Fribourg.
- Témoin privilégiéUne rétrospective consacrée à l’œuvre du photographe Marc Riboud se tient à la Galerie de l’Etrave à Thonon-Les-Bains jusqu’au 17 décembre 2011. L’occasion de voir ou de revoir les images qui ont fait le tour du monde et qui ont parfois marqué les consciences.Marc Riboud fait partie de ces photographes qui regardent l’histoire avec un grand H sous l’angle de l’intimité, mais derrière son objectif l’intime rejoint l’universel. Par Nicolas Pahlisch.