Licensed to Ill (1/5)
Il devait s’appeler "Don’t Be A Faggot", mais finalement, après une pression légitime de Columbia Records, le premier album des Beastie Boys s’appellera finalement "Licensed to Ill" - jeu de mots avec "Licensed to Kill", le fameux permis de tuer du Commandeur Bond.
Permis de déconner, c’est donc à peu près de cette façon que l’on doit comprendre un disque qui restera dans les mémoires comme l’oeuvre de trois bouffons punk - les Beastie Boys, supervisés par un producteur fan de Led Zeppelin et Black Sabbath - Rick Rubin, sorti sur un label qui devait devenir l’un des plus importants de l’histoire du rap: Def Jam. C’était il y a pile trente ans.
Permis de déconner, c’est donc à peu près de cette façon que l’on doit comprendre un disque qui restera dans les mémoires comme l’oeuvre de trois bouffons punk - les Beastie Boys, supervisés par un producteur fan de Led Zeppelin et Black Sabbath - Rick Rubin, sorti sur un label qui devait devenir l’un des plus importants de l’histoire du rap: Def Jam. C’était il y a pile trente ans.