Hannibal Kadhafi (à gauche), fils du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, rencontre l'homme d'affaires suisse Max Göldi à la prison d'Aljudayda à Tripoli, en Libye, le 1er mars 2010. Selon les médias locaux, Hannibal Kadhafi a rendu visite à l'homme d'affaires suisse pour des raisons humanitaires. M. Göldi a également été autorisé à passer un appel téléphonique à sa mère en Suisse à l'occasion de son anniversaire. [Keystone/EPA - SABRI ELMEHDAWI]

Libye: histoire d'un pays déchiré (1/5)

Cette semaine "Histoire Vivante" se penche sur l'histoire de la Libye internationale. Au micro de Frédéric Pfyffer, nous recevons plusieurs spécialistes de ce pays.

Pour commencer cette série, une entrevue avec Max Göldi. En 2008, Max Göldi est directeur depuis un an de l'entreprise technologique ABB en Libye. Il est pris en otage, sous le prétexte de ne pas être détenteur d'un visa en règle. Le régime libyen entend ainsi faire payer à la Suisse l'humiliation de l'arrestation d'Hannibal Kadhafi - fils du dictateur libyen Mouammar Kadhafi - par la police genevoise. C'est ce qu'on appelle alors, dans les médias suisses, "La crise libyenne".

Nous en parlons avec Max Göldi, auteur d'un ouvrage intitulé "La vengeance de Kadhafi - D'après le journal d'un otage" (Editions Wörterseh Verlag).

Dimanche 3 octobre à 22h10 sur RTS Deux, vous pourrez voir "Libye - La boîte de Pandore de l'après Kadhafi", un documentaire d'Emiliano Sacchetti (Italie/Allemagne, 2021). A voir aussi dès maintenant en cliquant sur le lien ci-dessous.


Photo: Hannibal Kadhafi (à gauche), fils du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, rencontre l'homme d'affaires suisse Max Göldi à la prison d'Aljudayda à Tripoli, en Libye, le 1er mars 2010. Selon les médias locaux, Hannibal Kadhafi a rendu visite à l'homme d'affaires suisse pour des raisons humanitaires. M. Göldi a également été autorisé à passer un appel téléphonique à sa mère en Suisse à l'occasion de son anniversaire. (© SABRI ELMEHDAWI/Keystone/EPA)
Libye: histoire d'un pays déchiré (1/5)