Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Pierre Niney est Yves Saint Laurent"Yves Saint Laurent", le biopic de Jalil Lespert ("Des Vents contraires"), sort cette semaine en salles, avec, dans le rôle-titre, Pierre Niney, "jeune premier" au cinéma comme au théâtre, puisqu’il est pensionnaire de la Comédie-Française. Aux côtés de Guillaume Gallienne qui joue Pierre Bergé, Pierre Niney livre une performance troublante de ressemblance.
Raphaële Bouchet l’a rencontré. - Art’s Birthday – L’anniversaire de l’artEspace 2 s'associe au Musée d'art contemporain de Genève pour fêter "L'anniversaire de l'art": un évènement en lien avec "Art's Birthday", un projet culturel mené par l’UER et Ars Acustica en dialogue avec plus de 20 radios publiques européennes.
Rencontre avec Anne Gillot, productrice de l’émission "Musique d’Avenir". - "Le malade imaginaire" de MolièreArgan se croit malade. En un sens, il l’est bel et bien: d’une addiction aux médecins, aux apothicaires et aux potions. Comment le guérir de cette névrose?
Thierry Sartoretti revient du Théâtre de Carouge où la célèbre satire de Molière devient, sous la houlette du metteur en scène Jean Liermier, une comédie fort drôle, mais plus proche du placebo que de la médecine de cheval. - Frédéric Polier croque Spregelburd avec bonheur"La Terquedad" (l’Entêtement) est le dernier volet d’un vaste cycle de pièces inspirées par les péchés capitaux de Hieronimus Bosch. Son auteur, Rafael Spregelburd, est l’une des stars du théâtre argentin et son style à nul autre pareil mélange un réalisme truculent avec des inventions formelles inattendues et des percées dans le fantastique.
La critique de Pierre Lepori. - Maurice Chappaz, le souffle du Vieux-Pays (4/5)En proximité avec les vivants et les morts
Poète avant tout, Chappaz s’est senti dès sa vingtième année en résonance avec l’écriture de Ramuz dont ses professeurs au Collège de Saint-Maurice avaient su lui parler intelligemment. Puis, il s’est établi un temps à Froideville dans le Jorat pour se rapprocher de Gustave Roud dont il fera l’éloge dans Adieu à Roud, signé aussi par Chessex et Jaccottet en 1976. A cet égard, les morts auront compté autant que les vivants dans l’œuvre du poète valaisan.
"Adieu à Gustave Roud" par Maurice Chappaz avec la voix de Mousse Boulanger ("Marchands d’images", RSR II, 9 novembre 1977). Sur son recueil "A rire et à mourir" avec Irène Lichtenstein ("Miroirs", TSR, 3 avril 1983)
Par Bruno Séribat et Christian Ciocca