La réponse du concours

Pour la troisième fois la fondation Gianadda présente les oeuvres de Sam Szafran. L'artiste français autodidacte qu'une longue amitié lie à Léonard Gianadda ouvre aujourd'hui un regard plus large sur sa production avec un point fort sur les "escaliers" et les "philodendrons". Szafran est un artiste du vertige tant son oeuvre est liée au détail, reproduit à l'infini et au delà de la perception visuelle. Mais c'est aussi un maître du dessin capable de faire d'un modeste atelier ou d'une imprimerie, une scène où se joue tous les enjeux de la perspective.À voir jusqu'au 16 juin 2013. Par Nicolas Pahlisch.

Elle est une illustratrice bien connue, elle a créé un chat que le monde entier connaît et qui répond au doux nom de Milton. Haydé expose à l'atelier de Raynald Métraux à Lausanne, l'occasion d'une belle rencontre qui se prolonge le week-end du 23 et 24 mars 2013 avec la 7ème édition d'Aperti qui ouvrent les portes des ateliers d'artistes! A voir du 20 mars au 27 mars 2013 et du 9 avril au 27 avril 2013. Par Florence Grivel.

Le vintage est à la mode, dans la mode, l’ameublement mais aussi dans la musique. Nouvelle preuve avec The Animen... un nouveau groupe genevois qui revisite le rock et la soul des fifties et des sixties. Julien Marty, guitariste du groupe, est au micro de Michel Masserey.

Les rituels du pouvoir clérical.En cheminant dans la Vieille Ville de Sion, Jérôme Meizoz désirait s’arrêter devant l’ancienne église des Jésuites, aujourd’hui désacralisée et devenue lieu muséal. Enseigné par les chanoines de l’Abbaye de Saint-Maurice, l’adolescent a finement observé l’enfermement des clercs, étouffement moral que les ecclésiastiques  subissaient autant qu’ils le faisaient subir au sein de la société valaisanne, du temps de ses pères et grands-pères, société traditionnelle encore chantée par un Maurice Chappaz, par exemple.Avec Jérôme Meizoz devant l’église désacralisée des Jésuites (Sion, 8 mars 2013). Avec la voix de Maurice Chappaz ("Écrivains en quête de divin", "A vue d’esprit", Espace 2, 13 décembre 2002)Par Christian Ciocca et Marc Frochaux