Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- La mécanique intime du phénomène "Je suis Charlie"Symbole de l’émotion des internautes face au choc de l’attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo, le mot dièse "Je suis Charlie" a envahi les réseaux sociaux en signe de solidarité avec les victimes.
Nicolas Vanderbiest, spécialiste des réseaux sociaux et doctorant à l’Université catholique de Louvin en Belgique, analyse la mécanique des étapes de ce phénomène viral. Il est au micro de Miruna Coca-Cozma - Nordique et médiéval: AquilonisDes voix, la voix de 3 femmes qui forment depuis presque 20 ans le Trio Mediaeval, c'est une chronique portée par le vent du Nord (l'Aquilon), qui nous promène à travers les siècles.
Un coup de cœur d'Isabelle Carceles. - La Saison des +, à GlandUne programmation destinée aux plus jeunes, intitulée la "Saison des +", fait la part belle aux spectacles romands pour toutes les tranches d’âge, en s’impliquant également dans la co-production de la prochaine création de la Cie Pied de biche, une adaptation avec acteurs, musique et marionnettes du joueur de flûte d’Hamelin. "Le Dératiseur d’Hamelin" à voir le 17 janvier 2015 à 17h, au Théâtre de Grand-Champ à Gland
Rencontre avec Sandrine Faure, cheffe du service de la culture de Gland. - Shalom Yalom!Psychiatre de 80 ans et auteur de bestsellers, Irvin D. Yalom passe pour être le psychothérapeute le plus influent des Etats-Unis. Son oeuvre souligne l'importance des relations et aborde la question du mode de fonctionnement de la thérapie.
Le film documentaire signé Sabine Gisiger propose davantage qu'une classique biographie: Yalom emporte le public dans un voyage existentiel à travers les nombreuses strates de la psyché humaine. Jouant le rôle de guide, il fait part de ses points de vue et nous laisse entr'apercevoir les profondeurs de sa propre vie spirituelle. La réalisatrice est au micro de Florence Grivel. - Jean-Marc Lovay, artisan d'imaginaire (4/5)Le mouvement de l’écriture.
La singularité des textes de Lovay a été reconnue il y a quarante-cinq ans mais n’a été reçue que par un cercle plus restreint de lecteurs assidus. D’ailleurs, l’auteur confesse volontiers qu’il ne se sent véritablement libre que dans le mouvement de l’écriture et semble canaliser, de livre en livre, le fleuve irrépressible d’une voix intérieure.
Par Max Both et Christian Ciocca