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Tous les matins, "C'est pas trop tôt" revient sur les temps forts de l'actualité. Au sommaire ce mercredi: le blues de ces vieux paysans suisses, qui peinent à joindre les deux bouts une fois arrivés à la retraite et qui doivent continuer à travailler dans leur exploitation, les attentats suicides perpétrés mardi contre l'ambassade d'Iran à Beyrouth revendiqués par un groupe lié à al-Qaïda et le coût annuel de la violence conjugale en Suisse qui se monte à 164 millions de francs. Par David Racana.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreTous les matins, "C'est pas trop tôt" revient sur les temps forts de l'actualité. Au sommaire ce mercredi: le blues de ces vieux paysans suisses, qui peinent à joindre les deux bouts une fois arrivés à la retraite et qui doivent continuer à travailler dans leur exploitation, les attentats suicides perpétrés mardi contre l'ambassade d'Iran à Beyrouth revendiqués par un groupe lié à al-Qaïda et le coût annuel de la violence conjugale en Suisse qui se monte à 164 millions de francs. Par David Racana.
- Les paysans suisses obligés de continuer à travailler après leur retraiteC'est un sujet tabou, dans nos campagnes: les paysans suisses doivent souvent continuer à travailler, au lieu de profiter d'une retraite bien méritée. L'explication vient du fait que leur rente AVS est modeste et le gouvernement leur coupe les aides directes à 65 ans. Le reportage avec l'un d'entre eux, qui doit livrer des œufs pour arrondir ses fins de mois, dans la région de Neuchâtel, et l'interview de Dominique Kohli, sous-directeur de l'Office fédéral de l'Agriculture.
- Des femmes à la tête de la NorvègeLa Norvège a changé de gouvernement le mois dernier, avec l'arrivée de la conservatrice Erna Solbergà la place du travailliste Jens Stoltenberg. L’une des conséquences de ce changement, c’est que les postes les plus importants du pays sont aujourd’hui occupés par des femmes. Ont-elles pris le pouvoir en Norvège? Par le correspondant de RTSinfo à Oslo, Grégory Tervel.
- Le coût effrayant de la violence conjugale164 à 287 millions de francs par an: c'est le coût de la violence conjugale à la collectivité suisse. Ce chiffre articulé dans une étude publiée mardi matin comprend les frais de justice, les pertes de gain, les structures d’accueil ou les soins médicaux. Mais ce n'est que la pointe de l'iceberg. Par Thibaut Schaller.