Intercités [RTS]

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Le bracelet électronique ne serait pas la panacée pour réduire la surpopulation carcérale, même s'il se généralise. En 1999, le Conseil fédéral autorisait sept cantons, dont Vaud et Genève, à tester l'utilisation des bracelets électroniques comme alternative à une courte peine d'emprisonnement. Depuis 2011, la surveillance électronique peut également être utilisée dans le cas de détention avant jugement, c'est-à-dire comme substitution à la détention provisoire, et ce à l'échelle du pays. Le problème c'est que seul un petit nombre de détenus remplissent les conditions pour être placés sous surveillance électronique. Par Isabelle Cornaz. Invité: Laurent Maye, procureur auprès du Ministère public de l'arrondissement de Lausanne.
Le bracelet électronique, solution miracle pour désengorger les prisons?