Le Journal du matin

Présenté par David Racana.

Par Patrick Le Fort.

Le Casino de Montbenon, à Lausanne, sera le théâtre ce vendredi et samedi du tout premier rendez-vous du bénévolat et de la vie associative. Au programme: des ateliers, conférences, consultations, cafés-débats, sans oublier une exposition, un spectacle ou encore un forum et une soirée festive. Le reportage d'Yves Terrani. Invitée: Latha Heiniger, secrétaire générale de Bénévolat-Vaud, Centre de compétences pour la vie associative.

Le maire du secteur juif de Nazareth, en Galilée, a été accusé mardi de racisme par une ONG israélienne. Selon cette ONG, Shimon Gafsou aurait tenu des propos inacceptables sur les Arabes de Nazareth dans une lettre au ministre de l’Intérieur, soutenant que cette population est un péril et qu’elle ne devrait pas être là, mais à Gaza. Par Fabien Hünenberger.

La promession est un nouveau procédé funéraire imaginé en Suède en 1999 qui offre une alternative écologique à la crémation très largement utilisée en Suisse. Le corps est transformé en poussière après avoir été plongé dans l’azote liquide puis déposé dans une urne biodégradable qui sera finalement mise en terre. Ce procédé est à la croisée des symboliques de l’inhumation et la crémation, mais est-on prêt pour cette innovation? Invité: Tanguy Châtel, sociologue des religions et membre du Comité national d’éthique du funéraire en France.

Par Maurice Doucas.

Un commentaire de Jacques Allaman. Le débat continue sur http://signature.rts.ch/.

Présenté par Valérie Droux.

C’est le Jour-J pour Rubik en Allemagne. Le Bundesrat, la chambre des Länder, dira ce vendredi matin si elle accepte de ratifier le système d’impôt libératoire proposé par la Suisse. Ce texte est porté à bout de bras par Angela Merkel et son ministre des finances Wolfgang Schäuble, il a été accepté par le Bundestag, mais il n'a quasi aucune chance devant un Bundesrat, dominé par une gauche qui n’en veut pas. Thomas Borer, ancien ambassadeur de Suisse en Allemagne partage-t-il ce pronostic? Son interview, avec l'analyse de Christian Favre.

Des travaux suspendus jusqu'à ce vendredi midi, un échec qui se profile: le traité budgétaire européen 2014-2020 ne sera vraisemblablement pas adopté par les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE. Les divergences sont trop profondes au sein d'une Union européenne en pleine crise minée par la défense des intérêts nationaux. Dans toutes ces négociations, un acteur a pris de plus en plus d'importance: la Pologne, courtisée désormais et par la France et par l'Allemagne, les 2 poids lourds de l'Union. On se souvient tous de la peur du plombier polonais, de cette vision caricaturale d'un pays arriéré et rural. L'interview de Mikolaj Dowgielewicz, ancien ministre polonais aux Affaires européennes et ancien porte-parole de la Commission européenne.

La Suisse accède à la présidence de l'Agence spatiale européenne. C'est une première, et l'occasion de rappeler la part de la Suisse dans la conquête de l'espace. Par Pierre Bavaud.

Patiemment élaboré, le modèle Rubik va très probablement se voir infliger un camouflet tout à l’heure par le Bundesrat allemand. Faut-il y voir un symbole emblématique des relations complexes que la Suisse entretient avec l’Europe? Entre crispation et ouverture timide, les rapports sont fluctuants, jamais vraiment chaleureux. Sommes-nous condamnés à la méfiance réciproque entre la Suisse et l’UE? Les accords bilatéraux constituent-ils un horizon indépassable? Et d’ailleurs, l’UE empêtrée dans la crise et qui ne parvient pas à s’entendre sur son budget fait-elle vraiment envie? Les réponses d'Andreas Gross, conseiller national socialiste zurichois.

Jeudi, les principales places financières européennes ont poursuivi leur mouvement de hausse. En Asie, comment ont réagi les marchés? Et quelle est la tendance à l'ouverture ce vendredi matin en Europe? L'interview de Jean-Frédéric Nussbaumer, responsable du trading actions à HSBC Private Bank à Genève.

Présenté par Frédéric Filippin.

Le double nom après le mariage, c'est bientôt fini. La modification du nouveau droit du nom entre en force au premier janvier 2013. Ce changement de législation précipite les fiancés dans les Etats civils cantonaux. A Fribourg, le nombre de mariages célébrés depuis octobre a augmenté d'un tiers. L'Etat civil affiche "complet" pour le mois de décembre. Quelles sont les raisons de cette vague de mariage sous le vieux système encore en vigueur quelques semaines? Y a-t-il un problème dans la nouvelle loi? Quelle règle aurait dû primer dans sa rédaction?