Le pouvoir turc multiplie les attaques contre la liberté d’expression ces derniers jours. A Genève, c’est une affiche qui est dans la ligne de mire, en Allemagne un satiriste est la cible de poursuite et en Turquie on ne compte plus les arrestations et les expulsions. Ce sont deux des produits les plus vendus par les producteurs de pesticides. L’un se retrouve dans les plantes d’ornements que vous achetez dans les garden centers, l’autre est soupçonné d’être cancérogène mais est toujours déversé dans nos parcs par de nombreuses communes romandes. C’est la nouvelle tendance pour les chefs d’entreprise. Faire appel à un coache en bonheur pour leurs employés. Les études montrent qu’un salarié heureux est beaucoup plus productif, créatif et loyal. De quoi faire rêver les patrons… et les employés.
C’ est pas tous les jours dimanche
Comme chaque semaine le retour sur l’actualité de la semaine vu avec le regard quelque peu caustique de mise au point. Cette semaine un avocat un peu las, une conseillère fédérale pressée de se lever, des policiers très alertes et un chasseur/cueilleur/conseiller d’état.
En pire Ottoman
Le pouvoir turc multiplie les attaques contre la liberté d’expression ces derniers jours. A Genève, c’est une affiche qui est dans la ligne de mire, en Allemagne un satiriste est la cible de poursuite et en Turquie on ne compte plus les arrestations et les expulsions.
Meurtres dans un jardin suisse
Ce sont deux des produits les plus vendus par les producteurs de pesticides. L’un se retrouve dans les plantes d’ornements que vous achetez dans les garden centers, l’autre est soupçonné d’être cancérogène mais est toujours déversé dans nos parcs par de nombreuses communes romandes.
Because I’m happy
C’est la nouvelle tendance pour les chefs d’entreprise. Faire appel à un coache en bonheur pour leurs employés. Les études montrent qu’un salarié heureux est beaucoup plus productif, créatif et loyal. De quoi faire rêver les patrons… et les employés.
Comme si c’était hier
Le Parti socialiste plan sur une nouvelle version de la Suisse dans l’Espace Economique Européen. Un interminable débat depuis qu’en 1992 la Suisse a dit non, traumatisant du même coup une génération de jeunes romands.