Né en 1945 à Ankara, le jeune Metin découvre la Suisse comme pensionnaire à l'âge de 7 ans. L'internat, la solitude, le sentiment de l'exil, autant d'expériences qui imprègnent l'enfant puis, plus tard, l'écrivain.
Metin Arditi étudie le génie atomique à l'Ecole polytechnique
fédérale de Lausanne puis il complète sa formation à l'Université
de Stanford.
Retour à Genève, pour une carrière d'homme d'affaires, de
promoteur immobilier doublé d'un fervent engagement dans la vie
culturelle avec la création de la Fondation Arditi.
Ce n'est qu'à la cinquantaine que Metin Arditi se lance en
écriture avec un essai consacré à Jean de la Fontaine, puis il
poursuit du côté du roman avec notamment La Pension Marguerite...
L'imprévisible, et aujourd'hui La fille des Louganis ou la
troublante histoire d'un enfant abandonné.
Je crois que le bonheur,
c'est d'être encore en chemin et donc de ne pas être arrivé...
C'est un mouvement.
Metin Arditi a dit dans
Singulier
Et comme chez tout grand
artiste, il y a une douleur mais il y a aussi quelque chose qui est
très différent qui est un besoin irrépressible de partager cela
avec son prochain, c'est ça le don de l'artiste... Et Van Gogh
quand on regarde ses yeux, on comprend qu'il avait ça.
Metin Arditi a dit dans
Singulier
J'avais des chagrins, c'était
des chagrins de petit garçon qui était loin des siens, qui n'avait
pas toujours près de lui les bras, ou la poitrine féminine, sur
laquelle il aurait aimé poser sa tête.
Metin
Arditi a dit dans Singulier