"Maigre du haut du corps et avec des cuisses massives, je me sens un peu ridicule devant le miroir", s'amuse Froome qui se dit "impatient de faire de la gym quand il arrêtera" et travailler au niveau des biceps et des épaules "pour équilibrer un peu".
"Aux tests physiologiques de 2015, mon taux de graisse était de 9,8 %", explique Froome dans le quotidien britannique. "J'ai été un peu surpris que ce ne soit pas plus bas. Je suis sûr que je pourrais le réduire mais cela serait risqué. Que se passerait-il pour le système immunitaire ?"
"Beaucoup de gens ont été choqués d'entendre que je pesais presqu'un kilo de plus à la Vuelta qu'au Tour de France, à peu près de 68,5 à 69 kilos. Mais j'étais beaucoup plus fort en montagne et mes données étaient meilleures", précise le Britannique en ajoutant qu'il prend jusqu'à 6 ou 7 kilos à l'intersaison quand il se remet à manger normalement sans un entraînement quotidien de cinq-six heures.
ats/bao