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FAQ RTSsport

La foire aux questions de RTSsport
La foire aux questions de RTSsport
Retrouvez sur cette page la réponse à vos questions les plus fréquentes

Pourquoi je ne reçois pas de réponse à mon mail

Notre boîte n’est pas interactive. Nous n’avons pas de personnel attitré à cette tâche, l’essentiel de nos moyens et de nos forces sont investis dans le programme, mais nous nous efforçons toutefois à répondre dans le mois.

Vos messages et critiques, pour autant qu’ils soient argumentés, précis et ne comportent évidemment pas d’insultes, sont tous lus, répertoriés, discutés et pris en compte lors des débriefings que nous faisons de nos émissions ; cela ne signifie cependant pas que nous y répondions de manière personnelle.

D’autre part, il est opportun de prévenir le public qu'écrire sur notre site (qui n’est pas un défouloir !) n'implique pas de recevoir une réponse de notre part. La critique, quand elle est constructive et argumentée solidement, nous intéresse, nous fait progresser, contribue à une saine remise en question pour mieux répondre aux attentes du public. Mais le fait est que, souvent, en sport, la critique est très subjective car d’ordre affectif, la critique est parfois sommaire, voire même simpliste et vite insultante. Ne voir midi qu’à sa porte n’est pas une critique ! Or, pour le rédacteur en chef des sports, une critique formulée sans respect ni courtoisie, une critique brutale et gratuite, ne saurait être prise en compte et ne mérite aucune attention.

Que propose RTS Sport en qualité de programmes

Directs et différés.

Emissions:

  • Sport dimanche: émission de sport au sens large, qui mêle sujets d’actualité, synthèses, reportages magazines et invités, en fonction de l’actualité et des choix et priorités établies par la rédaction des sports de la RTS.

  • Sport dernière: émission qui résume les événements principaux de la journée.

  • Grand format: large résumé de séquences du direct sur un événement sportif.

  • Au Coeur du Sport: émission à vitesses multiples. Vous sont proposés ici des portraits, des rencontres, des enquêtes ou des archives, pour regarder le sport avec du recul et le mettre en perspective au-delà des urgences de l’actualité.

Sur notre site RTSsport.ch, les directs sont proposés en simulcasting et les émissions sont disponibles en vidéo à la demande en tout temps et gratuitement. Par ailleurs, certains de nos programmes ne sont diffusés que sur notre site web.

Comment faites-vous vos choix de programmation ?

La complexité d'une programmation de sport n'est pas un mystère! Il faut y intégrer les notions les plus diverses, à commencer par les coûts des droits sportifs. En effet, très rares sont les directs de sport qui sont gratuits. Tout se négocie et se paie. Tout ce qui est diffusé fait donc l’objet de contrats d'achat de droits qui se font en partenariat avec nos collègues alémaniques et tessinois. La Suisse est diverse et variée et aucun contrat de diffusion ne saurait se négocier seul dans son coin juste pour la RTS; nous travaillons dans le cadre d'une entreprise nationale: la SSR.

Comme vous pouvez l'imaginer, la négociation des droits sportifs est une compétition assez féroce où chacun défend sa ligne, sa stratégie et ses méthodes de négociation des prix. Il arrive que nous renoncions à des événements et des contrats, car ils sont trop chers ou hors de propos. Nos moyens sont limités. Nos choix sont également dictés par les audiences et l'intérêt des goûts du "grand public"; c'est une question de légitimité. Quel sens cela aurait-il de diffuser des programmes sportifs qui n'intéressent qu'une petite minorité ?

Nous privilégions trois axes dans nos négociations d’achats de droit et dans nos émissions:

  • Les sports qui intéressent le plus le grand public suisse (= romand, alémanique et tessinois).

  • Le suivi des sportifs et équipes suisses les plus connus du grand public suisse.

  • Les événements sportifs internationaux majeurs (comme les Jeux olympiques, le Mondial de football, ou d'athlétisme, ou de cyclisme, ou de ski).

La Suisse est un petit pays au pan médiatique; nos moyens financiers pour acheter les droits de diffusion, ainsi que nos moyens techniques et humains sont limités. Nous devons donc faire des choix stratégiques, financiers et programmatiques en accord avec nos confrères alémaniques et tessinois. Le sport est un flux continu qui ne s'arrête jamais, maisON NE PEUT PAS TOUT SUIVRE, TOUT DIFFUSER: IL FAUT TOUJOURS CHOISIR ET DONC AUSSI SAVOIR RENONCER. Nos choix, nous le savons, ne font pas forcément l'unanimité, mais nous les assumons entièrement dans l'intérêt d’une majorité de notre public, car c'est bien pour le "grand public" que nous devons établir nos priorités programmatiques.

Malgré les critiques de celles et ceux qui, parfois ne voient midi qu'à leur porte, une évidence s'impose: la SSR, et donc la RTS, est le média de service public qui diffuse le plus de sport et de sports différents avec près de 2500 heures par année en tv, radio et sur le web! Et le grand public dans sa majorité valide largement nos choix en plébiscitant cette offre sportive unique au monde en termes de diversité pour un média service public.

Je n'aime pas votre offre sportive. Pourquoi vous ne diffusez pas telle ou telle discipline?

La RTS est une chaîne généraliste de service public. Beaucoup de nos téléspectateurs pensent avoir affaire à une chaîne sportive, ce qui n'est pas le cas. Nous couvrons plus de quarante sports et disciplines différents. Il s'agit-là d'une des offres les plus riches et variées au monde, alors que notre budget total n'atteint pas le quart de celui des chaînes qui sont nos concurrentes!

Nous n'avons pas la prétention, ni les moyens d'être complets mais, en Suisse, le public nous est très fidèle et nos audiences des plus larges.

Aucun autre média de service public au monde n'a une offre globalement aussi riche, diverse et dense que celle de la SSR. Aucun autre média de service public ne traite, globalement, d'autant de sports différents, y compris les rendez-vous majeurs tant sur le plan national que mondial. On peut certes toujours la critiquer, mais le fait est que notre offre est unique dans sa richesse, sa variété et sa quantité.

Nous ne pouvons pas couvrir tous les événements romands, et proposer un programme personnalisé.

Les supports se diversifient et font que la demande en matière de sport tend naturellement à être supérieure à l'offre. Le consommateur s'offusque lorsqu'il ne trouve pas ce qu'il souhaite. Dans ce contexte, la critique est alors immédiate, réactive et très affective, mais disons-le, pas toujours aussi nuancée et objective qu'on le souhaiterait. Sans doute est-ce la matière qui veut cela.

On vit dans une société de consommation immédiate, et selon les termes ci-dessus, cette diversité de l'offre n'est tout simplement pas encore possible!

La Radio Télévision Suisse paie des droits afin de diffuser un événement produit par une maison de production mandatée par l'organisateur ou est elle-même productrice de l'événement. De plus, il existe un système de calcul des audiences qui nous indique clairement quelle discipline attire le plus de monde. Si un événement ou une discipline n'est pas diffusé, c'est qu'il n'est pas prioritaire dans notre ligne éditoriale au vu des faibles audiences qu'il engendre. Ou alors qu'un autre événement au même moment intéresse un public plus large. Et c'est ce public le plus large, majoritaire, qui est prioritaire pour nous.

Si nous ne recevons pas d'images, ou que l’événement n’est pas couvert par des caméras, il nous est tout simplement impossible d'en diffuser une quelconque image!

Pourquoi vous ne diffusez pas tous les matches de hockey/foot du Championnat suisse?

Pour des questions de coûts et d'économies, nous ne le pouvons pas; par ailleurs nous devons faire des choix selon un tournus entre les régions pour contenter à la fois les Alémaniques, les Tessinois et les Romands. La Suisse est aussi riche de cette diversité et nous l'assumons et la défendons! Pour des raisons contractuelles, financières, mais aussi d'audience, nous avons choisi de diffuser le hockey uniquement dès les playoffs. Les audiences des dernières années nous ont montré que le grand public auquel nous nous adressons ne s'intéresse "vraiment" au hockey qu'au moment des playoffs.

Pourquoi vous ne diffusez pas sur la première chaîne lorsqu'il y a deux événements en même temps (exemple avec les JO)

La RTS deux n'a pas été conçue pour ne diffuser que du sport. C'est une chaîne complémentaire qui diffuse aussi d'autres programmes qui intéressent un public aussi divers que varié.

Je n'aime pas votre journaliste/commentateur/consultant

C'est votre avis et nous le respectons. Mais votre avis est un parmi d'autres, votre est subjectif, votre avis en vaut d'autres. Ni plus ni moins. Reste que tout le monde ne pense pas comme vous.

La réalité montre que les journalistes sportifs - plus encore que tous les autres - sont très exposés, car en sport la subjectivité domine souvent et chacun voit souvent midi à sa porte. Dans ce contexte, la critique est souvent immédiate, réactive et très affective, mais disons-le, pas toujours nuancée et très objective…

Ces mêmes journalistes couvrent plusieurs disciplines. Leur polyvalence ne peut être que plus louable!

Le journalisme sportif, et en particulier le commentaire, comprennent des exercices de "haute voltige" où il faut distinguer la part objective de la part subjective de propos tenus dans un contexte souvent empreint d'éléments passionnels.

Les erreurs de faits sont, évidemment, regrettables et répréhensibles. Personne n'est parfait et chacun peut souffrir la contestation. Ce que l'équipe du département des sports de la RTS est prête à affronter. Mais vous nous rendrez justice en observant que ces "erreurs" restent limitées en regard des centaines heures de retransmission que nous offrons à notre public. Par ailleurs, l'erreur est humaine, n'en commettez-vous pas?

Pour ce qui est de la subjective liée à l'appréciation d'un événement ou d'une performance, permettez-nous de croire que personne ne peut oser se prévaloir de détenir l'unique vérité. Les journalistes de notre équipe sont des professionnels rompus aux tâches qui leur incombent.

Le problème des consultants se révèle plus délicat. Lorsque nous cherchons des collaborations ponctuelles, nous visons plusieurs objectifs: une connaissance spécialisée de la matière, un réseau de contacts à même de nourrir le propos en informations de première mains, une aisance dans l'exercice audio-visuel, une complicité efficace du duo commentateur-consultant et (bien sûr) une maîtrise de la langue française. Vous conviendrez qu'il est difficile de réunir tous ces points. Nous considérons toutefois qu'aussi longtemps que les avantages l'emportent sur certaines faiblesses, nous continuerons à proposer des commentaires avec tel ou tel consultant.

Prononciation

Nous avons fait le choix de prononcer les noms complexes comme une majorité de notre public le fait. C'est un problème insoluble. Même si on les prononçait comme ceux de leur pays d'origine, on le prononcerait encore parfois faux…

Pour ce qui est en vigueur en matière de prononciation de sponsors à l'antenne, les règles internes à toutes les chaînes de la SSR, à savoir que nous ne prononçons pas les noms des sponsors des patinoires, mais nous les faisons figurer par écrit sur l'écran.

Je ne paie pas une redevance pour ça!

Au-delà des critiques (et même des insultes parfois…) que nous regrettons mais assumons pleinement, il faut aussi que le public sache que, pour une redevance qui coûte un franc par jour, la SSR est la chaîne de service public au monde qui diffuse le plus de sports, le plus de sports différents, le plus de grands événements sportifs et le plus de sport en direct: 2500 heures au total en moyenne par année! CQFD

Par ailleurs, la rentabilité de la SSR (calculée en faisant le rapport: coûts de production/coûts de personnel (salaires)/heures de programmes diffusées) en fait l'une des plus performantes et productive au monde.

Le son d’ambiance est mauvais

Il faut savoir que la prise de son fait l'objet d'un soin particulier, mais aussi de pratiques techniques très différentes selon la discipline, le lieu et les techniciens responsables de la production. L'acheminement du son suit aussi des parcours parfois très divers, ce qui en peut en affecter la qualité.

On nous adresse parfois des plaintes à propos d'un son d'ambiance trop présent qui masque le commentaire. Ou le contraire, lorsque le commentaire couvre trop l'ambiance.

Le goût du public pour les ambiances sonores se révèle plutôt varié. Et il n'est pas possible de répondre aux préférences de chacun.

Il y a un décalage entre le son et l’image

Un décalage avec le son peut se produire parce que le son ne voyage pas forcément par le même chemin et donc pas à la même vitesse que l'image. On doit donc passer le son par ce qu'on appelle une "chaîne à retard" pour recaler au mieux le son avec l'image.

Techniquement, il est un fait que la ligne apportant le son d'ambiance, la ligne apportant le commentaire et la ligne apportant l'image jusqu'à la régie ne prennent pas le même "chemin" de circulation et de vitesse et sont PARFOIS décalées. Ces retards sont connus et font l'objet d'un traitement systématique à l'aide d'appareils prévus pour cela. Il arrive cependant que le "temps de retard" ne corresponde pas à celui qui a été programmé. Dans ce cas, le technicien doit faire glisser la valeur prévue jusqu’à obtenir une neutralisation du problème. Cette manipulation ne donne pas toujours le résultat souhaité.

On a pu constater que la diversification de nos canaux de distribution, en particulier le visionnement sur Internet, pouvait parfois malheureusement subir un asynchronisme typique de ce genre de vecteur (streaming live).

Ce sont autant d'éléments qui rendent la gestion des pistes "audio" très compliquées où nous ne maîtrisons pas toujours toutes les données. Reste que nous pouvons vous affirmer que nous prenons ces questions très au sérieux.

Je ne peux pas bénéficier du son bi-canal

Le son du commentaire est selon les cas diffusé en bi-canal, mais uniquement pour une distribution dans les diverses régions linguistiques en Suisse. (géolocalisation).

Pour pouvoir bénéficier du SON bi-canal, la majorité des télécommandes récentes ont une touche < I - II > pour basculer d'un audio à l'autre...

Si tel n'est pas le cas, toutes les télécommandes ont une touche < MENU> puis sélectionner < SON ou AUDIO > et vous trouverez le son BI-CANAL qu'il suffira de sélectionner à gauche ou à droite.

Pour info, il est impossible de fournir un mode d'emploi clair car chaque modèle de télévision à sa propre télécommande qui diffère.

Pour être sûr, consultez le mode d'emploi fourni avec votre poste de télévision, ou adressez-vous à votre concessionnaire.

J'aimerais obtenir une copie de l'une de vos diffusions

Les émissions telles que Sport dimanche, Sport dernière, Au Coeur du Sport peuvent être revisionnées en tout temps sur le site RTSsport.ch.

Mais nos émissions, comme nos directs, sont, par contrat limitées à une diffusion tv ou web; il nous est interdit d'en faire des copies à des tiers.

Je n'arrive pas visionner une vidéo sur RTSsport.ch

A l’étranger

Tout événement sportif direct de la Radio Télévision Suisse diffusé sur le net est géo-localisé, limité à la seule Suisse. Par contrat il nous est interdit de diffuser à l'étranger un programme sportif dont nous avons négocié les droits pour le territoire suisse uniquement. Négocier des droits de diffusions mondiaux à travers notre site serait une folie financière!

Malheureusement, pour des questions de droits de diffusion, les vidéos des émissions sont géo-bloquées et destinées uniquement à la consultation par le public résidant en Suisse.

Il nous est donc interdit, par contrat, de diffuser ces images au-delà de notre territoire national. Cela limite certes notre champ de diffusion, mais… le fait est que 99,5% de notre public y trouve son compte. Pour satisfaire le 0,5 % qui reste, nous devrions négocier - et payer des sommes astronomiques! - pour des droits de diffusion mondialisés, ce qui n'entre pas dans notre mandat et dans nos moyens.

En Suisse

Les engorgements sur le net font partie de ce genre de désagréments. La qualité du provider/navigateur peut également jouer un rôle et souvent, de nouvelles versions sont disponibles, sans que l'on en soit informé.

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