Dans la grande maison des requérants d’asile mineurs (1/5)
Au foyer je me sens forte
Pour atteindre sa chambre, Fadumo doit passer plus de 5 portes sécurisées. Munie de son badge électronique, elle appelle le Foyer des MNA (mineurs non accompagnés) "le coffre-fort". Mais la jeune Somalienne qui vient d’obtenir l’asile et un permis B dit aussi : "Au foyer je suis bien, je me sens forte".
Premières rencontres dans les trois étages dévolus aux mineurs, dans le quartier de Malley, au sud de Lausanne. Un foyer particulier où une dizaine d’éducateurs encadrent, en alternance, plus de 40 jeunes, venus d’une dizaine de pays différents.
Pour atteindre sa chambre, Fadumo doit passer plus de 5 portes sécurisées. Munie de son badge électronique, elle appelle le Foyer des MNA (mineurs non accompagnés) "le coffre-fort". Mais la jeune Somalienne qui vient d’obtenir l’asile et un permis B dit aussi : "Au foyer je suis bien, je me sens forte".
Premières rencontres dans les trois étages dévolus aux mineurs, dans le quartier de Malley, au sud de Lausanne. Un foyer particulier où une dizaine d’éducateurs encadrent, en alternance, plus de 40 jeunes, venus d’une dizaine de pays différents.