2/5 Un vent de liberté sur les médias
Sous la dictature militaire, être journaliste impliquait pour le moins de se plier scrupuleusement aux ordres du bureau de la censure. Pour le pire, de finir ses jours dans une geôle aux côtés d’autres prisonniers politiques. Mais depuis janvier 2012, les journalistes sont moins surveillés et plus de 600 prisonniers politiques ont été libérés.