Les enquêteurs allemands ont découvert le numéro de cette femme dans un des portables trouvés sur les lieux du drame à Berlin.
Contactée sur Facebook par Le Matin Dimanche, elle dit avoir "chatté normalement" avec le conducteur du camion fou. Celui-ci avait demandé à la rencontrer et souhaitait même l'épouser.
Elle rapporte que cet homme "se sentait de temps en temps seul". Elle a précisé ne pas croire qu'il ait été le responsable du massacre.
Radicalisation
Au bénéfice d'une rente d'invalidité due à des problèmes psychiques, la Suissesse travaille épisodiquement.
Des commentaires fondamentalistes postés par elle sur les réseaux sociaux montrent qu'elle s'est radicalisée, selon le journal dominical.
Le 19 décembre 2016, jour du drame qui a fait 12 morts à Berlin, la Thurgovienne a publié un message sur Facebook disant qu'elle ne ressentait pas de pitié, l’Occident n’ayant aucune pitié pour les Syriens tués par les bombes russes ou américaines.
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