Alors que la thématique revient régulièrement depuis le vote sur les criminels étrangers ou celui sur l'immigration de masse, le centre de réflexion Foraus propose une solution pour concilier la démocratie directe et le droit international.
Dans les cas problématiques, les Suisses devraient voter en même temps sur l'initiative et sur le traité international touché par l'initiative en question, selon la proposition de Foraus.
Elus peu enthousiastes
Le laboratoire d'idées veut ainsi mettre le citoyen devant ses responsabilités en lui faisant prendre conscience des conséquences de l'acceptation d'un texte qui violerait le droit international.
Cette idée ne convient pas du tout à Claude-Alain Voiblet, vice-président de l'UDC. De son côté, la socialiste vaudoise Cesla Amarelle estime le débat nécessaire, mais pense que cette proposition pose des problèmes de mise en oeuvre.
Rouven Gueissaz/dk