De moins en moins de Suisses à la tête de fédérations sportives
Revue de presse du 1er octobre
Les Suisses sont toujours moins nombreux à la tête de fédérations sportives. Le départ annoncé de Sepp Blatter de la fédération internationale de football ne serait que la partie émergée de l'iceberg, selon Le Temps.
Le dernier exemple en date est la défaite de l'Argovien René Stammbach au premier tour de l'élection à la présidence de la fédération internationale de tennis. Depuis deux ans, des échecs similaires se sont enchaînés dans les fédérations d'aviron, de lutte, de hippisme ou encore au CIO.
Victimes de la concurrence et du lobbyisme
Une concurrence toujours plus vive, du lobbyisme qui se professionnalise et une moindre influence des secrétaires généraux en poste sont parmi les facteurs qui expliqueraient ce phénomène.
Dominique Choffat et Maurice Doucas
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