La Suisse ne protège pas mieux ses enfants contre le châtiment corporel que certains pays en voie de développement. C'est ce qui ressort d'une étude internationale, publiée sur humanrights.ch et reprise ce vendredi par le Tages-Anzeiger.
En Suisse, la baffe et la fessée éducatives ne sont pas formellement interdites par la loi, si bien que le pays figure sur la liste rouge, aux côtés de l'Erythrée ou encore de l'Arabie Saoudite.
Plusieurs tentatives sans succès
Le journal alémanique rappelle que, ces dernières années, il y a eu plusieurs interventions au niveau fédéral, ainsi que des demandes depuis l'étranger, pour faire changer les choses, mais sans succès.
Georges Pop et Sandra Zimmerli