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Montreux attend son Prince, La Maladière perd ses boulons

La venue de Prince à Montreux à la Une de la presse
La venue de Prince à Montreux à la Une de la presse
Mythe de la musique moderne et légende vivante du rock et du funk, Prince est en concert ce soir à Montreux, s'enthousiasme la presse. Heureusement qu'il ne se produit pas à La Maladière, à Neuchâtel. A peine inauguré, le stade se déglingue. Un pan du toit est tombé, sans faire de blessé. Un autre bâtiment préoccupe; celui que la ville de Lausanne avait acquis en vue de son local d'injection, refusé par le peuple. Sa rénovation va coûter cher, nous avertit-on.

Le Temps, 24 heures

Prince, génie musical et commercial! As du marketing aussi,
comme nous le montre Le Temps . Son nouvel album se sortira que vendredi
mais 2 millions de Britanniques l'ont déjà reçu hier, en primeur,
emballé dans leur journal du dimanche. Joli coup de marketing d'un
homme qui sait tout orchestrer pour se vendre au mieux. Le concert
de ce soir n'a été annoncé qu'à l'ouverture du festival de jazz de
Montreux, une manière de mettre le chanteur en vedette. Prince est
généralement une bête de scène! Il pourrait bien ce soir mettre le
feu à Montreux ou en devenir le roi, note 24 heures . Montreux est de plus l'unique date
européenne du chanteur, avant ses concerts londoniens.

20 Minutes

A peine inauguré, le nouveau stade de La Maladière, à Neuchâtel
connaît déjà des soucis de toiture! De sérieux soucis, même, à en
croire 20 Minutes , puisqu'un morceau de
toit de plus d'un mètre de long s'est écrasé hier après-midi dans
la rue, sans blesser personne heureusement. Mais trois semaines à
peine après l'inauguration en grande pompe du tout nouveau stade de
Xamax, ce n'est pas de très bon augure. Une inspection sommaire a
été menée hier pour s'assurer que tout le reste du toit tient. Des
investigations plus poussées auront lieu ces prochains jours.

24 heures

A Lausanne, c'est un immeuble déglingué acheté à prix d'or qui
continue de faire des vagues. En Une de 24 heures , on retrouve le fameux bâtiment acquis
par la ville pour y installer ce local d'injection dont la
population n'a pas voulu. Le quotidien vaudois l'a visité avec un
expert. Verdict: la ville l'a payé trop cher. En plus, il y a des
cafards à la cave et des insectes de tous genres dans les boiseries
et les tapisseries. Tout est à refaire, des ascenseurs à
l'étanchéité, en passant par l'isolation et la chaudière. Trois à
quatre millions de francs indispensables pour en faire, non pas une
résidence de luxe, mais simplement des appartements habitables.

Blick

Les journaux alémaniques ont une saveur estivale aujourd'hui.
Photos à l'appui, les Suisses ont vraiment profité du week-end.
"Sprung in den Sommer", titre le Blick. Et tout ça grâce à Andrea,
du nom de l'anticyclone qui nous a offert le beau temps de ces
derniers jours. Pas frileux, le Blick lance dans son édition un
appel à toutes celles qui se prénomment Andrea. Les candidates
peuvent envoyer leur photo au journal, qui publiera celles dont le
physique fera le plus monter les températures. Du Blick tout
craché.

Tages Anzeiger

286'000 francs, soit plus de 23'000 francs par mois, c'est le
salaire plus que confortable d'un traducteur de la police cantonale
zurichoise, comme le révèle le Tages Anzeiger . Comment est-ce possible? En
travaillant en moyenne 76 heures par semaines à 70 francs de
l'heure. Ce cas a été mis au jour lorsque le traducteur en question
est tombé malade. Il alors demandé le versement de son salaire pour
cette période de maladie. Et là, surprise, l'administration
cantonale s'est rendu compte qu'il gagnait allégrement plus de
200'000 francs par année. Ce qui fâche un certain Christoph
Mörgeli, conseiller national UDC. En 1999 déjà, à la suite d'une
affaire semblable, il avait demandé que les traducteurs ne
travaillent pas plus de 60 heures par semaine. Une promesse que le
conseil d'Etat zurichois n'a visiblement pas réussi à tenir.

La Tribune de Genève

Polémique au sein des organismes d'entraide actifs à Genève.
L'ONG Save the children salarie les jeunes qui récoltent pour elle
de l'argent en ville, nous explique La Tribune de Genève . Cette méthode
anglo-saxonne qui veut que l'on rémunère les recruteurs non
seulement avec un montant fixe, mais aussi avec un bonus à la
performance inquiète les autres organisations où le bénévolat est
roi. Elles ont peur que les donateurs réagissent mal en apprenant
le salaire des jeunes gens qui les abordent dans la rue. Peur aussi
que ces actions ponctuelles organisées dans des lieux en vue ne
lassent leurs traditionnels et fidèles donateurs, qui ont
l'habitude d'être abordés 3 ou 4 fois l'an, mais pas plus.

Swisstxt avec Sandra Viscardi et Delphine Gendre (RSR)

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Lausanne la dernière née de ses souris. Une petite révolution
puisqu'elle est destinée au salon et qu'elle s'utilise dans les
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