Ces entreprises s'y engagent à "avoir des procédures claires et efficaces pour examiner" les signalements de "discours de haine illégaux" sur leurs supports, selon le texte publié par l'exécutif européen.
La "majorité des signalements valides" demandant la suppression de tels contenus devront être examinés "en moins de 24 heures" et supprimés si nécessaire, est-il notamment prévu dans ce code.
Les signataires s'engagent par ailleurs à former régulièrement leurs employés "sur les évolutions sociétales actuelles".
Outils utilisés pour radicaliser
"Les récentes attaques terroristes nous ont rappelé le besoin urgent de nous préoccuper des discours de haine illégaux sur internet", a estimé la commissaire chargée de la Justice, Vera Jourova.
"Les médias sociaux sont malheureusement l'un des outils que les groupes terroristes utilisent pour radicaliser des jeunes gens et que les racistes utilisent pour répandre la violence et la haine", a-t-elle souligné.
ats/fme