Après les Hauts-de-France, la région Grand Est avalise son nouveau nom

Le président de la nouvelle région Philippe Richert (Les Républicains) s'est à nouveau efforcé de rassurer ceux qui craignent une disparition des dénominations historiques, lesquelles continueront à figurer sur les document officiels du conseil régional.

"Ce n'est pas une identité créée de toutes pièces pour suppléer les autres, c'est une identité pour agir", a commenté l'élu, soulignant le risque, faute d'un nouveau nom, de voir l'usage remplacer ceux des trois entités fusionnée par un acronyme incompréhensible.

Plébiscite sur internet

L'appellation Grand Est avait été plébiscitée en mars lors d'une consultation sur internet et par courrier. Les trois quarts des votants l'avaient préférée à Nouvelle Austrasie, Rhin-Champagne ou Acalie, pourtant les trois seules propositions initialement retenues par un comité de sélection.

Le nouveau nom doit être transmis au gouvernement en vue de son adoption définitive d'ici au 1er octobre par un décret en Conseil d'Etat.

afp/boi