![En février 2013, les Femen avaient fait sonner la cloche de Notre Dame de Paris pour fêter le renoncement du pape Benoît XVI. [Michel Euler]](https://img.rts.ch/articles/2014/image/4p9z39-27856937.image?w=1280&h=720 "En février 2013, les Femen avaient fait sonner la cloche de Notre Dame de Paris pour fêter le renoncement du pape Benoît XVI. [Michel Euler]")
Neuf Femen relaxées après leur action à Notre-Dame de Paris en 2013
Le tribunal de Paris a estimé mercredi que les neuf Femen qui avaient investi Notre-Dame de Paris pour fêter le départ de Benoît XVI en 2013 n'étaient pas responsables de la dégradation d'une cloche.
Neuf membres du groupe féministe Femen qui étaient poursuivies pour avoir dégradé une cloche de la cathédrale Notre-Dame de Paris ont été relaxées mercredi par le tribunal correctionnel de Paris. Il a estimé qu'il n'y avait pas suffisamment d'éléments pour imputer les dégradations aux Femen. Il s'agit du premier procès des Femen consécutif à l'une de leurs actions.
Surveillants amendés pour violences
Trois surveillants de la cathédrale ont quant à eux été condamnés à des amendes de 300 euros, 500 euros et 1000 euros avec sursis pour des violences commises sur trois militantes lors de leur expulsion de l'édifice.
Le 12 février 2013, les Femen avaient fêté à leur manière le renoncement du Pape Benoît XVI. Exhibant leurs seins comme à chacune de leur actions, les Femen avaient crié "Pope no more" ("Plus de pape"), en faisant tinter les cloches avec des morceaux de bois. La police avait constaté sur procès-verbal des éclats de plus d'un centimètre sur le dessus d'une des cloches.
afp/sbad
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