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Johnny Hallyday n'est plus résident à Gstaad depuis un an

Le chanteur de 69 ans a quitté l'hôpital de Fort de France (Martinique) pour Los Angeles.
Le chanteur a été sommé par un député français de s'expliquer sur sa situation fiscale.
Johnny Hallyday ne réside plus à Gstaad (BE) depuis le 1er janvier 2013, a annoncé l'avocat du chanteur vendredi. Comme affirmé dans un tweet, le chanteur et sa famille sont "résidents US".

Sommé d'expliquer sa situation fiscale par le député socialiste français Yann Galut, Johnny Hallyday a communiqué vendredi, par l'intermédiaire de son avocat, vivre aux Etats-Unis depuis le1er janvier 2013. Le couple formé par le chanteur et son épouse Laeticia est "résident fiscal américain et ne bénéficie pas du régime du forfait fiscal suisse applicable dans le canton de Berne", a indiqué Me Ardavan Amir-Aslani.

L'artiste "a fait le choix de vivre avec sa famille de façon permanente aux Etats-Unis où il prépare et enregistrera son nouvel album", a précisé l'avocat dans son communiqué.

Le canton de Berne confirme

La direction des Finances bernoises a également confirmé sur les ondes de la RTS que le chanteur ne vit plus à Gstaad depuis l'an dernier. Johnny Hallyday n'est donc plus au bénéfice d'un forfait fiscal bernois. Il doit cependant s'acquitter d'un impôt sur le chalet qu'il possède toujours dans la station.

La veille, à la suite d'une enquête de la RTS indiquant qu'il était rarement à Gstaad (lire: Johnny Hallyday vit-il vraiment à Gstaad? Le débat est relancé), Johnny Hallyday a répondu sur Twitter en indiquant qu'il était "résident US, et pas résident suisse".

afp/bri

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Les Hallyday résident à Los Angeles

Interrogée sur Europe 1 vendredi matin, son épouse Laeticia a confirmé: "nous ne sommes plus résidents suisses". Selon les informations de la radio française, les Hallyday possèdent depuis 2013 le statut de "famille résidente" aux Etats-Unis.

Pour l'obtenir, ils doivent séjourner plus de six mois par an dans leur villa de Los Angeles et payer des taxes sur les dépenses faites aux Etats-Unis, explique Europe 1, qui évoque la convention fiscale franco-américaine de 1994.