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Les phrases insolites des sénateurs durant le débat sur la Lex USA

Durant de longues heures, les conseillers aux Etats ont évoqué leur position quant à l'accord avec les Etats-Unis sur les banques. L'occasion d'utiliser des images marquantes ou des phrases choc.

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Peter Foehn (UDC/SZ): "Je me rappelle de mon passé de lutteur à la culotte. Avec cette loi, je ne sais pas si on finira sur le dos ou pas." [Peter Klaunzer]

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Peter Foehn (UDC/SZ): "Je me rappelle de mon passé de lutteur à la culotte. Avec cette loi, je ne sais pas si on finira sur le dos ou pas." [Peter Klaunzer]

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Karin Keller-Sutter (PLR/SG): "Je me sens comme une footballeuse à qui on dirait: joue même si tu ne connais pas les règles." [Ennio Leanza]

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Werner Luginbühl (PBD/BE): "Nous avons le choix entre un atterrissage d'urgence et un crash." [KEYSTONE - Peter Schneider]

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Urs Schwaller (PDC/FR): "Ici, les émotions ne nous servent à rien. Un non aura de plus grandes conséquences qu'un oui." [Alexandra Wey]

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Christian Levrat (PS/FR): "Nous sommes dans un jeu de Pierre Noir où personne ne veut prendre la responsabilité d'une mauvaise décision." [Peter Schneider]

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This Jenny (UDC/SZ): "C'est en effet une pomme acide, mais pas une pomme qui pourra m'étouffer." [KEYSTONE - Peter Klaunzer]

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Luc Recordon (Verts/VD): "L'ignorance du Parlement, c'est comme si nous étions tous morts." [Laurent Gillieron]

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Pirmin Bischof (PDC/SO): "Je ne sais plus si je fais partie de la majorité ou non." [KEYSTONE - Peter Klaunzer]

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Anita Fetz (PS/BS): "C'est un choix entre peste et choléra. Mon oui me coûte énormément." [KEYSTONE - Peter Klaunzer]

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Konrad Graber (PDC/LU): "En commission, le champ sémantique portait sur la réputation et la peur d'un effet domino. Il manquait les regrets." [KEYSTONE - PETER SCHNEIDER]

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Hannes Germann (UDC/SH): "Envoyons un signal aux USA: la Suisse est un état de droit et le restera." [KEYSTONE - Gaetan Bally]

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Roberto Zanetti (PS/SO): "Ces amendements nous cassent la tête. Faites-les examiner par le National, sinon je vote non." [KEYSTONE - Peter Klaunzer]

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Georges Theiler (PLR/LU): "Je peux très bien comprendre que les Etats-Unis ressentent le paradis fiscal suisse comme une nuisance." [KEYSTONE - Lukas Lehmann]