Un cheminement fraternel vers la lumière. [Tamas Zsebok]

L’accompagnement spirituel en question (4/5)

Se former.
"A vue d’esprit" cherche à comprendre l’expression contemporaine de cette discipline et tente d’évaluer quelles sont les limites d’une approche d’accompagnement spirituel, ses dangers potentiels et les compétences requises pour les accompagnants.
Face à la demande du public, la formation en accompagnement spirituel proposée jusqu’ici par l’Université de Genève va être reconduite sous l’égide d’une association qui devrait voir le jour au mois de juin prochain. Une association qui devrait jouer un rôle important tant dans la formation continue, que la supervision et l’application d’un code de déontologie. Une première étape pour aller dans le sens d’un label qui garantit des accompagnements de qualité.
Les personnes intéressées par la formation en accompagnement spirituel proviennent de métiers et de domaines de compétences extrêmement variés et parfois très éloignés de la théologie, de la psychologie  ou de l’accompagnement. Leur motivation n’est souvent pas de devenir accompagnants spirituels, mais d’utiliser les outils abordés dans la formation dans leur pratique professionnelle ou personnelle.
Sabine Petermann s’entretient avec Lytta Basset, professeure de théologie de l’Université de Neuchâtel, et Sylvie Wegelin, juge, participante à la formation CAS en accompagnement spirituel de l’Université de Neuchâtel.
L’accompagnement spirituel en question (4/5)