Une louche de caviar sauvage, c’était autrefois le luxe suprême ! Aujourd’hui, le caviar est produit par tonnes dans le monde entier. Les élevages se multiplient en Europe, en Amérique et en Chine. Le caviar est-il en train de devenir un produit industriel comparable au saumon ? ABE a aussi enquêté sur les alternatives : œufs de truite, saumon, féra et lompe. Ces succédanés sont-ils vraiment recommandables ? Juste avant les fêtes, A Bon Entendeur vous dit tout sur le caviar et les œufs de poisson.
Fini le caviar sauvage !
Autrefois pêché dans les rivières et dans la Mer Caspienne, l’esturgeon a été décimé par la pollution et la surpêche. Il est aujourd’hui protégé par une convention internationale signée par 180 pays. On ne mange pratiquement plus que du caviar d’élevage. Il pourrait, ces prochaines années, être essentiellement de provenance chinoise.
Notre comparaison de caviars
Les caviars proposés dans nos supermarchés proviennent d’Allemagne, d’Italie, de Finlande, d’Uruguay et même de Suisse. Passage en revue des produits proposés.
Oeufs de poisson, 10 fois plus consommés que le caviar
Avec la mode des sushis, nous consommons toujours plus d’oeufs de poisson : saumon, hareng, capelan, poisson volant, lompe et truite. Nous avons visité la pisciculture Murgat à Beaufort, près de Grenoble, pour suivre l’extraction d’oeufs de truite...
La recette de Claude Frôté: variation de féra !
Le chef du restaurant le Bocca à St-Blaise, dans le canton de Neuchâtel, nous a préparé une entrée originale avec une variation de produits du lac : féra crue, féra fumée et caviar de féra. Une recette facile et abordable qui met en valeur la délicatesse du poisson et la subtilité des œufs de poisson, idéale pour la période des fêtes.
Rubrique: un accident, mortel à 25% !
Depuis plus d’un an, Madame Huber se démène avec son assureur Solida, suite à la mort subite de son mari âgé de 78 ans. Rien ne laissait présager le tragique événement : une chute mortelle dans la cage d’escalier du domicile conjugal.
Rubrique: un élan de générosité
Le témoignage d’Adriana, cette ouvrière roumaine de 51 ans, dans l’une de nos précédente émissions, a particulièrement touché une téléspectatrice qui nous a contactés pour lui venir en aide.