L'Axolotl n'est pas le seul amphibien a pouvoir moduler sa métamorphose: la plupart des urodèles en sont capables dans une moindre mesure, et ce sont les facteurs environnementaux qui déterminent, à partir d'une taille minimale, le moment "idéal" pour déclencher la métamorphose.

Si les Axolotls (comme les Protées) ont développé cette stratégie - jusqu'à pouvoir se reproduire sous une forme larvaire -, c'est que le milieu aquatique leur était plus favorable (température, composition chimique, aliments, prédateurs, etc.), que le milieu terrestre.

À l'opposé, la salamandre noire a dû s'adapter à un milieu exclusivement terrestre, en donnant naissance à des juvéniles déjà métamorphosés (viviparité).