Le Journal of epidemiology and community Health a publié le 15 mars 2011, une étude examinant l'espérance de vie et la mortalité par certaines maladies (cardiopathie ischémique, accident vasculaire cérébral (AVC), maladie pulmonaire obstructive chronique et les cancers) en fonction de l'altitude à laquelle vivaient les sujets examinés.

L'altitude n'avait pas d'influence sur les décès par AVC ou par cancer. Elle réduisait la mortalité par cardiopathie ischémique, mais augmentait la mortalité par maladie pulmonaire obstructive chronique. A cause de ces deux effets opposés, vivre en altitude semble n'avoir aucun effet net sur l'espérance de vie.

En novembre 2013, un article paru dans la revue américaine The FASEB Journal (Le journal de la Federation of American Societies for Experimental Biology) expliquait que des expériences menées dans la Station spatiale internationale, impliquant les cellules qui tapissent les surfaces internes des vaisseaux sanguins (cellules endothéliales) avaient montré que la microgravité accélère le vieillissement biologique de ces cellules. Et par conséquent, favorise les maladies cardiovasculaires.