La slow life, ralentir pour mieux vivre. [Fotolia - W. Heiber Fotostudio]

Les échos de Vacarme

En moins d’un siècle, le progrès autant social que scientifique a réduit spectaculairement notre temps de travail. Mais qui peut vraiment en profiter? Le court-termisme s’est étendu à tous les secteurs de nos activités. S’alimenter, travailler, se divertir, faire l’amour ; le quotidien de la majorité d’entre nous ressemble à un contre la montre sur fond de crise environnementale et économique.

Pourtant, certains ont décidé de voir la vie du côté "slow". Un freinage pour redonner du goût, du sens, du calme et du temps pour ressentir. Une tentative de décélération, certes traversée par des contradictions, mais qui rayonne et qui questionne.

Trois invités réagissent à des extraits de reportages diffusés durant la semaine:

- Josef Zisyadis, co-président de Slow Food CH
- Chiara Barberis, cheffe de service de l’Agenda 21 – ville durable à la Ville de Genève
- Jacques Grinevald, professeur retraité IHEID, pionnier de la décroissance
Les échos de Vacarme