Manger est-il un acte engagé? (1/5)
Manger sans laisser des traces.
A l’Ecole d’agriculture du Valais, Ludovic Delaloye, sous-chef de cuisine, prépare entre 150 et 200 repas par jour. Il accorde une attention particulière aux produits de proximité et à l’empreinte écologique de ses repas collectifs.
Charlotte de la Baume, créatrice de l’indicateur Beelong, calcule selon l’origine, la production ou encore la préparation, l’impact de chaque aliment sur l’environnement.
A l’Ecole d’agriculture du Valais, Ludovic Delaloye, sous-chef de cuisine, prépare entre 150 et 200 repas par jour. Il accorde une attention particulière aux produits de proximité et à l’empreinte écologique de ses repas collectifs.
Charlotte de la Baume, créatrice de l’indicateur Beelong, calcule selon l’origine, la production ou encore la préparation, l’impact de chaque aliment sur l’environnement.