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Le peuple italien a démocratiquement dit non, il ne veut plus d’austérité. Mais cette réponse ne convient pas à Bruxelles, qui exerce des pressions pour qu’un consensus soit trouvé au sein du nouveau gouvernement italien. Le scrutin italien met en pleine lumière le décalage entre les élites politiques et une population de plus en plus eurosceptique. Par le correspondant de RTSinfo à Bruxelles, Alain Franco, avec l’interview de Charles Wyplosz, économiste et professeur à l'Institut de Hautes Etudes Internationales et du Développement à Genève.
Euro: après l'Italie, la crainte d'une rechute