Le sommaire de l’émission
- Journal de 06h00Présenté par Valérie Droux.
- Revue de pressePar Roger Guignard.
- Le Valais se pose la question de son développement territorialAvec l'initiative Weber et révision de la Loi fédérale sur l'aménagement du territoire (LAT), le débat sur le développement territorial s'impose désormais aux régions périphériques. Comment doivent-elles se développer à l'avenir? C'est une question sur laquelle planche actuellement le canton du Valais. Les grandes lignes d'un concept proposant la vision du Valais en 2030 seront en effet mises en consultation ces prochaines semaines par le gouvernement valaisan. Invité: Pierre-Alain Rumley, ancien directeur de l'Office fédéral de l'aménagement du territoire.
- L’église du St-Sépulcre menacée de fermetureL’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem menace de fermer ses portes aux pèlerins, pour une histoire de facture d’eau. L’église, ou "Basilique de la Résurrection", est un sanctuaire qui englobe selon la tradition le lieu de la crucifixion ainsi que le tombeau du Christ. Et son administration a vu son compte en banque bloqué sur l’intervention de la compagnie d’eau israélienne Higahon. Celle-ci réclame 1,4 millions d’euros pour la consommation d’eau au cours des 15 dernières années. Par André Kolly.
- La puberté précoce touche aussi les garçonsPar Virginie Matter.
- Presse alémaniquePar Maurice Doucas.
- La politique, ou l'art de la chaise musicaleUn commentaire de Vincent Bourquin. Le débat continue sur http://signature.rts.ch
- Jon Ferguson, les références musicales du jour"If you see her say hello", Bob Dylan "Nowhere man", The Beatles "Satisfaction", The Rolling Stones
- Journal de 07hPrésenté par Didier Duployer.
- Vers la disparition des jours-amende?Tous les partis, ou presque, semblent d'accord pour mettre fin aux jours-amende. Le Conseil fédéral propose de son côté un retour des peines de courtes durée et la suppression des sursis, qui accompagne très souvent les jours amendes. Pourtant, la commission des affaires juridiques du Conseil national vient de repousser à l'année prochaine la modification du code pénal. Par Julien Magnollay avec l'interview d'Olivier Jornot, procureur général du canton de Genève.
- Le business des designers de bébésUne mère de famille, qui voulait absolument une fille, a pu se payer une fille pour quelques dizaines de milliers de dollars. C'est en effet le coût d'un diagnostic préimplantatoire à des fins de sélection sexuelle. La pratique est interdite en Suisse, mais légale aux Etats-Unis, où des cliniques en ont fait leur business. Ce commerce génère 100 millions de dollars. Faut-il avoir peur de cet eugénisme high-tech? Le dossier de Jacques Allaman. Invité: Bernard Baertschi, philosophe, maître d'enseignement et de recherche à l'institut d'éthique biomédicale.
- Jacques de Haller, président de la FMHDepuis le début de l’année, les demandes d’ouverture de cabinets médicaux ont explosé - surtout pour les spécialistes et dans les villes. Faut-il endiguer ce flot? C’est l'un des objectifs du moratoire voulu par le ministre de la Santé, Alain Berset. Le conseiller fédéral va examiner les avis déposés lors de la procédure de consultation et soumettre un projet de loi au Parlement avant la fin de l’année. Y a-t-il donc trop de spécialistes en Suisse? Ou sont-ils simplement mal répartis selon les régions? Le moratoire est-il une solution? Jacques de Haller, président de la Fédération des médecins suisses (FMH) jusqu'à la fin de l'année.
- Clôture rouge pour les marchés européensLundi, les principales places financières européennes ont clôturé dans le rouge, à l'équilibre en Suisse. C'était une journée de transition et d'attente. Invité: Jean-Paul Jeckelmann, responsable de l'analyse financière et de la gestion à la banque Bonhôte.
- Journal de 08h00Présenté par Frédéric Filippin.
- Les emplois en Suisse sont-ils vraiment menacés?UBS, Lonza, Swisscom. Les annonces de licenciements se sont multipliées, ces derniers temps, en Suisse. Ces dégraissages semblent déconnectés avec la réalité économique du bateau suisse, qui a pourtant bien résisté à la tempête européenne. Globalement, chez nous, le taux de chômage reste bas et le tissu économique performant. Alors pourquoi ces licenciements? Est-ce la faute de la globalisation? D'un défaut dans la structure économique suisse? Ou alors sommes-nous, tout simplement, en présence d'une faiblesse dans la défense des salariés, habitués à 75 ans de Paix du travail? Quelle est la nature du mal et quelles peuvent en être les réponses? Les emplois, en Suisse sont-ils vraiment menacés? Les salariés doivent-ils s'inquiéter?