Olivier Adam : "Peine perdue"
Deux ans après s’être prêté au jeu risqué de l’autofiction, Olivier Adam prend ses distances avec lui-même et abandonne la première personne du singulier.
A travers une communauté de personnages désemparés, l’auteur dresse une fois de plus le portrait d’une société rongée par le désarroi, le mal-vivre et l’usure des relations humaines.
A travers une communauté de personnages désemparés, l’auteur dresse une fois de plus le portrait d’une société rongée par le désarroi, le mal-vivre et l’usure des relations humaines.